Le jour où Flora Nicol a été victime du violeur Patrick Trémeau, en septembre 2005, elle a anesthésié la douleur à coups de médicaments, de somnifères. Des médicaments devenus « des passeurs pour éloigner », comme elle l’écrit, « par intermittence », le traumatisme, la mort, et pour se plonger dans l’oubli.
Après « seize ans de défonce », la documentariste publie Mes lettres de cachets aux éditions Studiofact. Un témoignage des conséquences de l’agression que lui a fait subir son violeur. De cette maladie de la dépendance aux drogues, des cauchemars, mais aussi de survie et d’espoir. Bonne écoute
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🎙️ Un épisode d'Anne-Laëtitia Béraud
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