Seul face à la mer, filant autour du monde, le plus vite possible. Thomas Ruyant va prendre le départ de son deuxième Vendée Globe, la plus grande course à la voile autour du monde, en solitaire, sans escale et sans assistance, ce dimanche aux Sables-d’Olonne.
Et s’il est assisté à terre d’une équipe d’une dizaine de personnes, c’est lui seul qui sera aux manettes de son monocoque pendant environ trois mois.
Solitude et « l’Everest des mers »
Comment choisit-on de s’extraire de l’humanité pour aller concourir « l’Everest des mers », dont le parcours fait environ 45.000 kilomètres ? Et surtout, pourquoi ?
Thomas Ruyant est l’invité de cet épisode de Minute Papillon !, à écouter ci-dessus. De cette envie du large, face aux éléments, il rappelle qu’« on ne part pas du jour au lendemain. Cela fait 15 ans que je prépare cette épreuve ».
Faire face, seul, à l'imprévu
Il revient aussi sur son «besoin» de solitude, de laisser «les choses à terre», que ce soit en haute mer… Ou en montagne, en autonomie.
Thomas Ruyant explique comment il est préparé à l’imprévu, l’accident, voire la maladie en pleine mer, ayant appris des gestes pour se soigner, équipé en médicaments.
Le marin est enfin interrogé sur ce qu’il reste de poésie dans cette compétition. Pour savoir sa réponse, il faudra écouter…
Anne-Laetitia Béraud
Crédit son: Bisquit Soul de Nordgroove Fugue Icons8.com
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Seul face à la mer, filant autour du monde, le plus vite possible. Thomas Ruyant va prendre le départ de son deuxième Vendée Globe, la plus grande course à la voile autour du monde, en solitaire, sans escale et sans assistance, ce dimanche aux Sables-d’Olonne.
Et s’il est assisté à terre d’une équipe d’une dizaine de personnes, c’est lui seul qui sera aux manettes de son monocoque pendant environ trois mois.
Solitude et « l’Everest des mers »
Comment choisit-on de s’extraire de l’humanité pour aller concourir « l’Everest des mers », dont le parcours fait environ 45.000 kilomètres ? Et surtout, pourquoi ?
Thomas Ruyant est l’invité de cet épisode de Minute Papillon !, à écouter ci-dessus. De cette envie du large, face aux éléments, il rappelle qu’« on ne part pas du jour au lendemain. Cela fait 15 ans que je prépare cette épreuve ».
Faire face, seul, à l'imprévu
Il revient aussi sur son «besoin» de solitude, de laisser «les choses à terre», que ce soit en haute mer… Ou en montagne, en autonomie.
Thomas Ruyant explique comment il est préparé à l’imprévu, l’accident, voire la maladie en pleine mer, ayant appris des gestes pour se soigner, équipé en médicaments.
Le marin est enfin interrogé sur ce qu’il reste de poésie dans cette compétition. Pour savoir sa réponse, il faudra écouter…
Anne-Laetitia Béraud
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